Qui dit tour du monde dit diversité des paysages, des reliefs et des conditions météorologiques. Il faut donc un appareil capable de faire face à tous ces éléments.

Le but est aussi de pouvoir naviguer à vue, et d’admirer les paysages. C’est pourquoi un appareil à ailes hautes serait l’idéal.

Cela nous conduit à la sélection suivante :



Cessna 152

Je l’ai intégré dans mes choix potentiels car, outre le fait qu’il a les ailes hautes, il permet d’aller partout. Mais, c’est sa seule qualité pour cette aventure. Pour le reste, que ce soit l’autonomie, le plafond de vol ou la vitesse, ce n’est clairement pas un appareil adapté.



Cessna 172 Skyhawk

A vrai dire, c’était mon choix de cœur. Je le connais bien et il aurait pu faire l’affaire. Mais, sa limitante en terme de plafond de vol, me contraindrait à emprunter un autre avion pour les secteurs montagneux. Je ne l’ai donc pas retenu.



CubCrafters XCub

Comme le Cessna 172, ce XCub aurait pu être l’heureux élu. Il a une autonomie suffisante. Une vitesse de croisière correcte. Mais, là encore, son plafond de vol de 14.000 ft est vraiment trop juste.



Cirrus SR-22

Ce modèle est responsable d’une période de doute pour moi. C’est le monomoteur de voyage par excellence. Il jouit d’un moteur puissant, d’une vitesse de croisière au-delà du nécessaire et d’une belle autonomie, le tout avec un confort premium. Mais, même si son plafond de vol est supérieur aux avions que nous avons vus jusque là, elle est encore trop juste pour les zones montagneuses.



Pilatus PC-6

Avec ce PC-6 nous délaissons le moteur à piston pour la turbine. Cela offre des performance et une fiabilité bien supérieures. Mais avoir une turbine ne fait pas tout. Son tout petit rayon d’action, 450 NM, est purement et simplement rédhibitoire.



Cessna 208B

Avec ce modèle, on s’approche de l’avion idéal. On ne peut rien lui reprocher vraiment. Mais c’est la comparaison avec un de ses concurrents qui fait que je ne l’ai pas retenu. Cela se joue à 160 NM près. Cela peut paraitre peu mais, sur certaine liaison, cela fera toute la différence.



KODIAK 100

Voici donc celui avec qui je vais faire équipe tout au long de cette aventure.

Il y a quand même un petit hic : je n’ai jamais volé sur cet appareil. Il va donc falloir que je mette en place un petit programme d’entrainement avant de me lancer, histoire de l’avoir bien en main.